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Belleville à tombeau ouvert

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Gaston, Suzy, Camille, Michel, Georges et les autres

Les hôtes remarquables du cimetière
de la rue du Télégraphe


Visite groupée que ce troisième passage dans le vieux cimetière bellevillois. Les personnalités dont nous allons cette fois parler sont, peut-être, un peu moins médiatiques que Léon Gaumont (voir Q. L n° 103) ou Mgr Maillet (n° 104) mais dignes aussi de la curiosité. Se reporter au plan pour localiser les sépultures concernées.


Armand Grébauval (1864-1913) trône en majesté tout près de Léon Gaumont. Bien que les inscriptions funéraires mettent en avant sa qualité d’homme de lettres (il a surtout laissé des livres de voyages), Armand Grébauval fut beaucoup plus connu comme personnalité politique. Républicain social, élu du 19ème arrondissement (quartiers Combat et Amérique) de 1890 jusqu’à son décès, il présida le conseil municipal de Paris. En 1908, il habitait au 47, du boulevard de la Villette. Notons qu’un Grébauval industriel manufacturier remplit les fonctions de maire adjoint puis de maire de la commune de Belleville dans les années 1820-1830. Ce pourrait être la preuve d’un enracinement familial lointain dans le sol de notre colline.


Fagus, de son vrai nom Georges Faillet (1872-1933). Ce poète et écrivain, bien oublié aujourd’hui, appartint pourtant au gotha littéraire de son époque et collabora à la rédaction de revues prestigieuses : Mercure de France, Revue blanche, Le Divan, etc… Séide du poète Pierre-Jean Toulet et du peintre Tristan Klingsor, il côtoya aussi le musicien Arthur Honegger, qui composa en son honneur une Chanson de Fagus pour soprano, chœur mixte et piano.

Gagus peint parTristan Klingsor en 1914. Crédit : DRIl se lia – ce qui représente un exploit – avec le misanthrope et néanmoins grand homme de lettres Paul Léautaud grâce à leur amour commun des animaux. Fagus, connu jeune avec un esprit plutôt anarchiste, évolua vers un catholicisme mystique et royaliste où l’amour immodéré de notre bonhomme pour l’alcool joua probablement un rôle.

Ses liens à Belleville sont indubitables. Son père, Eugène Faillet (1840-1912), communard éminent, proche d’Eugène Varlin, fut un militant socialiste très en vue dans les quartiers de notre butte entre 1880 et 1912, élu à plusieurs reprises conseiller municipal. Il habita à Ménilmontant puis au 19, boulevard de la Villette, qui constitua certainement le foyer du poète, adolescent. Georges Faillet dit Fagus, dans son curieux livre Le Théâtre Hans Pipp (1922), imagine un double - Pipp, donc - dans la bouche duquel il place cette confession : « Concevez l’orgueil que j’ai d’être parisien, né de parents parisiens, et d’avoir si peu bougé de Belleville, ce qui m’est une province et beaucoup davantage. » Ce Pipp évoque aussi le Théâtre de Belleville, le parc de loisirs du Lac Saint-Fargeau, la maison des saint-simoniens, ranimant par ailleurs le souvenir des cabarets de Ramponeau et des Dénoyez, tous lieux de haute « bellevilletude ». Dans Testament de ma première jeunesse (1898), le poète écrit ainsi ces vers :


« C’est Chloris en court jupon
Et Mélibée en casquette
Qui jouent des mains et coquettent
Sous la lune, aux Buttes-Chaumont
C’est la plastique en paillons
Des volumineux athlètes
Qu’émoussent les populations
Boulevard de la Villette. »

Signalons aussi que Fagus a habité en plusieurs points de notre montagne, rue Pelleport notamment.

Paul Léautaud, présent à l’enterrement de son ami, le 17 novembre 1933, en rend compte dans son Journal ainsi : « Cimetière de Belleville, rue du Télégraphe, la rue la plus haute de Paris, me dit Deffoux [1]. Il a plu à torrent jusqu’à 11 heures. Nous pataugeons dans le sol trempé. Un caveau frais ouvert, dont la maçonnerie est encore à faire. On y descend le cercueil. L’eau bénite, et on s’en va. Sur le cercueil, un immense crucifix de cuivre doré. »

Ce crucifix a disparu de la tombe, où figure seulement aujourd’hui une croix classique en léger relief. En regardant de près, car les inscriptions sont mal visibles, on discerne, à la croisée des montant et traverse du symbole chrétien, la gravure insolite d’un svastika [2]. En 1933, un porte-devise posé à côté sur la dalle donnait à lire le vers ci-après : « Stat crux dim volvitur orbis. » L’un et l’autre rappellent le frontispice qui avait orné la publication de l’un des plus fameux poèmes de Fagus, Ixion (1903).


Jandelle. Famille d’entrepreneurs de maçonnerie et d’architectes bellevillois de la charnière des XIXème et XXème siècles : Emile, Edouard et Emile-Pierre Jandelle. En se promenant dans les rues de la Villette, de Bellevue, Rébeval, des Pyrénées, des Cascades etc… on voit la signature de leur nom sur la façade de plusieurs immeubles, au-dessus de la porte d’entrée. Ils étaient les propriétaires des terrains de notre cité Jandelle (53, rue Rébeval). Le plus connu d’entre eux est Edouard, dit Jandelle-Ramier, auteur des plans du Parisiana, célèbre concert de la Belle Epoque.


Camille Bombois (1888-1970). Du 39, rue Emile-Desvaux, où il avait son habitation et son atelier depuis 1947, jusqu’au cimetière de Belleville, ce peintre n’aura fait que 200 mètres pour accomplir son dernier voyage. Fils d’un batelier bourguignon, il fut un artiste autodidacte de la race d’Henri Rousseau. Il tira beaucoup son inspiration des différents métiers qu’il avait exercés : terrassier, valet de ferme, ouvrier au métro de Paris, lutteur de cirque, typographe…


S’il ne jouit pas de la notoriété de l’illustre douanier, il n’est pas moins considéré, avec lui, comme un maître international de l’art dit naïf (ou primitif) et les collectionneurs s’arrachent ses toiles à prix d’or : paysages et scènes de campagne, portraits, nus, fantaisies, natures mortes, etc. [3] Beaucoup des sujets traités baignent dans une atmosphère de fantasme érotique.

Là encore, il faut se crever les yeux pour ne pas louper la tombe tant les inscriptions ont été érodées par le temps.

En 1994, la municipalité du 20e arrondissement a fait donner le nom de cet artiste à une rue de la cité de la "Campagne à Paris" (au-dessus de la porte de Bagnolet). (Note rajoutée par l’auteur de cet article M.Braquet le 22 août 2013).

Gaston Cony (1891-1983). Sur la stèle de sa tombe, au-dessous d’une allégorie du théâtre, le visiteur lit cette intrigante épitaphe :

« Les guignols sont des philosophes.
Les plus terribles catastrophes n’ont jamais éteint leur gaîté.
Ils restent dans cette atmosphère
Lorsque nous les quittons pour faire
Le grand saut dans l’éternité. ».

L’énigme s’élucide dès que l’on a rappelé que Gaston Cony fut marionnettiste, et pas n’importe lequel car, dans la première moitié du XXe siècle, il joua un rôle important pour la promotion de son art et l’organisation de la profession.

Son père, Alexandre, avait fait partie de l’équipe qui animait les deux castelets de théâtre de Guignol installés dans les Buttes- Chaumont en 1892. Il s’occupa particulièrement du Grand Guignol de Paris, situé à cinquante pas de la porte Bolivar du parc et visible de la rue Botzaris [4].

L’épitaphe sur la tombe de Gaston ConyGaston prit le relais de son père à la direction et, dès août 1914, rebaptisa pour la circonstance le théâtre Guignol de la guerre. Ardent patriote – va-t’en-guerre pourrait-on même dire –, il fit représenter jusqu’en 1920 de nombreuses pièces, écrites de sa main, qui exaltaient le courage des soldats.

Cet engagement valut à Gaston Cony les hommages du président de la République Raymond Poincaré et du roi des Belges Albert Ier.
 
Parmi les spectateurs de son castelet, il y eut en outre un certain Guillaume
Apollinaire, qui dédia au marionnettiste le poème Guignol-Poilu (1917).

En dehors de ses occupations de marionnettiste, Gaston, qui habita presque toute sa longue vie à Ménilmontant, dirigea plusieurs revues ou journaux, dont, dans les années 1923-1926, Le Funi, feuille d’informations locales des 19e et 20e arrondissements. Son fils Gérard lui succéda au Guignol de Paris en 1983 et, aujourd’hui encore, la famille Cony maintient l’activité de ce théâtre pour le plus grand bonheur des enfants de Belleville ou d’ailleurs.


 Suzy PrimSuzy Prim (1895-1991). Cette grande vedette des écrans français des années 1935-1955 est une enfant de notre “montagne”. Elle s’appelait à l’état civil Suzanne Mariette Arduini et naquit au 50 ,de la rue de Belleville, à deux pas de l’antique Théâtre de Belleville (cour Lesage) où ses parents étaient acteurs.

Dès son adolescence, elle entra sur les plateaux de la Gaumont, aux Buttes-Chaumont, donc tout près de chez elle, y tournant, de 1910 à 1912, sous la direction de deux des premiers grands réalisateurs du septième art, Louis Feuillade et Léonce Perret. Sa carrière d’adulte, Suzy Prim la partagea d’abord entre le théâtre, les revues de music hall et le cinéma.

Elle l’orienta principalement vers ce dernier après 1933. En raison de son physique avantageux et de son visage sensuel, Suzy, qui garda toujours les traces de son enfance faubourienne, fut beaucoup employée dans des rôles de fille de mauvaise vie, de mère maquerelle et autres entraîneuses ; ou bien de bourgeoise excentrique. En vérité, elle pouvait démontrer ses talents d’actrice dans presque tous les registres, du drame historique à la comédie de Boulevard. Elle avait d’ailleurs été formée par Firmin Gémier et Aurélien Lugné-Poe, qui sont quand même des références très sérieuses.

Elle a tourné une soixantaine de films avec des réalisateurs de renom comme Litvak, Christian-Jaque, Decoin, Cayatte, Siodmak, etc., voire prestigieux tels Renoir et Duvivier. Elle eut les plus grands partenaires : Jules Berry (qui fut un temps son compagnon de vie à la ville), Louis Jouvet, Jean Gabin, Charles Boyer, Serge Reggiani, Gabrielle Dorziat, Gaby Morlay ou Danielle Darrieux. Son nom n’est cependant attaché à aucune œuvre de tout premier plan. C’est sans doute ce qui explique que, star en son temps, elle est aujourd’hui quelque peu et injustement oubliée. Dans la dernière partie de sa longue existence active, elle se consacra à l’écriture de scénarios et à la production.


Emmanuel Jacomin : né (en 1908) et décédé (en 1983) à Belleville - il habitait une petite maison de la villa de Bellevue -, ce modeste employé d’une compagnie d’assurances se fit historien par plaisir. Il est sans conteste le plus grand connaisseur du passé de notre colline du Moyen Age au XVIIème siècle. Il a rassemblé le résultat de ses méticuleuses recherches en archives dans l’ouvrage Belleville (éd. Veyrier, 1982), réalisé en collaboration avec le romancier "bellevilloisissime " Clément Lépidis. Ce livre est devenu une référence : si vous vous interrogez sur les curieuses appellations de nos rues des Panoyaux, des Mignottes ou des Envierges, par exemple, vous y trouverez la réponse la plus éclairée. Vous connaîtrez grâce à lui le rapport que le duc de Bedford, régent d’Angleterre et gouverneur de Paris, entretenait à la fin de la guerre de Cent Ans avec les paysans du secteur de notre porte des Lilas, où il avait un domaine, le " château " des Bruyères. Vous apprendrez le prix auquel était vendu vers 1680 un muid (280 litres) de vin blanc ou clairet issu des vignes de Belleville…

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Rue du Pressoir - "Belleville" Clément Lépidis et Emmanuel Jacomin.


Michel-Adrien Etcheverry (1919-1999). L’un des plus "jeunes " morts du cimetière. Beaucoup, parmi les lecteurs de Quartiers Libres, se souviennent assurément de ses prestations formidables d’acteur à la Comédie-Française, surtout dans les tragédies. Il fut un serviteur des grands textes classiques (Shakespeare, Corneille, Hugo, etc.) ou modernes (Claudel, Montherlant, Anouilh, Sartre, etc.), voire d’avant-garde : Audiberti, Ionesco… Michel Etcheverry joua aussi avec abondance au cinéma et à la télévision ; on garde donc d’autant mieux en mémoire sa silhouette mince et élancée, d’un port aristocratique, son visage émacié, la relative dureté de ses traits et sa voix profonde, timbrée, presque lyrique, à la diction parfaite.
Une pointe d’accent du Sud-Ouest trahissait des origines que son seul nom précisait d’ailleurs d’emblée : le Pays basque. Exilé de sa patrie régionale, il en garda particulièrement l’amour du chant choral, si caractéristique des traditions pyrénéennes. Instituteur au Pays, au tout début de sa carrière professionnelle, il se fit d’ailleurs renvoyer de l’établissement où il enseignait pour avoir refusé que sa classe chante l’hymne pétainiste ; Maréchal, nous voilà. Attaché, de 1961 à 1981, à la maison de Molière, rue Richelieu, il ne noua pas moins de solides liens avec Belleville. "Monté" à Paris après sa rencontre avec Louis Jouvet, il fixa son domicile dans le 20e arrondissement dès 1947 et vint habiter en 1958 rue du Borrégo, où il demeura au moins jusqu’à sa retraite de la Comédie-Française (il décéda à l’hôpital Tenon). Pendant son séjour sur notre colline, il appuya l’initiative d’un groupe de jeunes et du père jésuite Etienne Thouvenin (de l’œuvre Notre Dame-des-Otages [5]) pour la fondation dans le quartier d’une Maison de la culture. Celle-ci verra le jour en 1960 sous le nom des Hauts-de-Belleville (43-45, rue du Borrégo) et continue de fonctionner de nos jours. Michel Etcheverry en assuma plusieurs années la présidence. Agnostique et tout à la fois mystique - ça arrive -, il assura d’autre part les voix récitatives dans la représentation annuelle, quasi institutionnelle, de la Passion au Théâtre de Ménilmontant (15, rue du Retrait).

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Michel Etcheverry dans un rôle rare pour lui, celui de l’accordéoniste de rue, ici au sommet de l’escalier de la rue Vilin. Image du film "Les Jeux dangereux", 1958, de Pierre Chenal. Avec Pascale Audret.


Pierre Cochereau (1924-1984) est l’un des meilleurs compositeurs du xx’ siècle pour l’orgue avec Duruflé et Dupré, ses maîtres, Tournemire et Widor. Titulaire des grandes orgues de la cathédrale de Paris, il y a donné des concerts d’improvisation qui sont restés légendaires, à l’égal de son enseignement dans les conservatoires. Cela dit, nous regrettons de n’avoir pas découvert pourquoi, s’il existe un motif particulier, il est inhumé à Belleville.


Nous terminerons en ajoutant une note à l’article que nous avons précédemment écrit sur la sépulture de Léon Gaumont. Parmi les noms gravés dans la pierre couchée, on lit celui de Gilles Bouloque (1950-1990). Que fait ici, pourrait-on se demander, le corps du fameux juge des affaires terroristes des années 1980, poussé au suicide par une certaine pression des médias ? Gilles repose en ce caveau car il avait épousé une petite-fille Gaumont.


Maxime Braquet, 2007

Comme nous l’a aimablement fait remarquer un lecteur sur le forum de l’article, Fagus n’est pas l’auteur du "Théatre de Hans Pipp". Cette œuvre est de Henri Strentz (1873-1943), un grand ami de Fagus et un commentateur de son œuvre. Poète, dramaturge, écrivain, critique littéraire, né dans le 19ème arrt, il a vécu et est mort à Belleville, 3 rue du Jourdain. Il repose au Père Lachaise.

Article mis en ligne en 2010 par Mr Antoine Seck, collaborateur à La Ville des Gens. Actualisé en 2014.

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[1Léon Deffoux, journaliste et essayiste littéraire. Il habitait à Ménilmontant

[2Que cela n’entraîne aucune équivoque. Rappelons en effet que le svastika fut volé par les nazis à la symbolique religieuse hindoue en détournant son sens, et pas seulement au plan graphique.

[3Un panel de sa production artistique est exposé, à Paris, au musée Maillol et, à Béraut (Gers), au musée international d’Art naïf. Voilà un objectif de balade culturelle pour week-end ou grandes vacances.

[4L’autre castelet, bâti à l’entrée près de la place Armand-Carrel, s’appelait Guignol Anatole. Un arbre abattu sur lui par la grande tempête de décembre 1999 interrompit sa carrière. Par bonheur, une nouvelle équipe l’a reprise à compter de 2002 et a conservé le nom du théâtre.

[5On sait que cette œuvre est née en rapport avec le tragique massacre des otages de la Commune, le 27 mai 1871, aux 79-81 de la rue Haxo, où aboutit la rue du Borrégo. Le cimetière de Belleville marque également la mémoire des fusillés par la présence en son enceinte d’un monument portant le nom des gendarmes exécutés (voir le plan).

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Réactions
par inconnu - le : 3 décembre 2012

Gaston, Suzy, Camille, Michel et les autres

Permettez-moi de relever une erreur dans cette page.
Fagus n’est pas l’auteur du "Théatre de Hans Pipp".
Cette oeuvre est de Henri Strentz (1873-1943), un grand ami de Fagus et un commentateur de son oeuvre. Né dans le 19ème arrt, il a vécu et est mort à Belleville, 3 rue du Jourdain. Il repose au Père Lachaise.
Poète, dramaturge, écrivain, critique littéraire, il mériterait d’être cité dans votre blog.

Répondre à inconnu

le : 6 décembre 2012 par Salvatore en réponse à inconnu

Gaston, Suzy, Camille, Michel et les autres

Bonjour,

Merci pour votre contribution, j’ai transmis à l’auteur de l’article qui ne manquera pas de vous écrire.

Nous corrigerons bien entendu l’erreur si erreur il y a.

Cordialement.
S.Ursini - La Ville des Gens

le : 6 décembre 2012 par Maxime Braquet en réponse à inconnu

Gaston, Suzy, Camille, Michel et les autres

Vous avez tout à fait raison. Bien que Strentz et Fagus soient de proches amis, il importe de réserver au premier nommé ce qui lui appartient. Veuillez bien excuser mon erreur, d’autant plus regrettable que je possédais les moyens de l’éviter car j’ai eu le livre de Strentz entre les mains. Je vais corriger l’article mais ne sais pas trop comment je vais bien pouvoir introduire Strentz dans le cadre de ce texte. Dommage qu’il n’ait pas lui aussi sa sépulture au cimetière de Belleville.
Maxime Braquet

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