La ville des gens : 26/mars
…parfois sa tête lui joue des tours !

C’est pas du cinéma… mais le cinéma y tient son rôle !

Il n’est pas ici dans notre intention de jouer les critiques littéraires, et pourtant nous allons vous parler d’un roman [1]. Roman au titre savamment choisi, puisqu’ intitulé « le projectionniste », titre qui entrebâille illico la porte de l’imaginaire. Mais pour éliminer tout risque de dévoilement, et surtout toute tentation d’ influencer le lecteur potentiel, nous n’en dirons que peu. Nous n’en dirons donc à l’évidence, mais sans précaution, ni bien, ni mal !

…tout le travail restera ainsi à votre charge, pour préserver votre plaisir !

Mais nous direz-vous, pourquoi donc en parler si vous n’avez rien à en dire ? Notre réponse sera aussi simple que la question posée est, du moins en apparence, justifiée : c’est que l’auteur respire, lui aussi, l’air de notre quartier du « haut Belleville », et qu’il nous plaît de faire connaître, en priorité et par préférence naturelle, les créateurs du cru. De plus nous pouvons bien l’avouer, il est aussi l’ami d’un collaborateur occasionnel [2] que nous aimons bien, nul doute que cela a également joué en sa faveur !

Plus habitué à signer des articles dans des revues scientifiques et à participer à la rédaction d’ouvrage théoriques, l’auteur signe pour l’occasion du pseudonyme « Jean Géralde », lequel peut passer pour une mini curiosité, mais là n’est vraiment pas l’important ! Pour lever une petite part du mystère, nous pouvons vous dire qu’il s’intéresse à la psyché au point d’en avoir fait, de longue date, le champ de sa pratique professionnelle, et qu’il est aussi passionné, c’est presque peu de le dire ainsi, par l’image dans l’art cinématographique. Sur tous ces points, la note de l’éditeur [3] vous en dira sans doute beaucoup plus que nous ne pouvons le faire nous même.

Vous l’avez compris, l’important pour nous, à travers ce petit exercice de dire, sans dire, tout en disant… est de vous donner à connaître l’existence de ce roman, et de vous permettre ainsi d’aller y lire, si l’envie vous en vient !

- Gram Manège (26/03/2012)