À court de forme explose Shakespeare

Théâtre, danse et court-métrage : la Compagnie Estrarre s’empare de l’Étoile du Nord et s’attaque à Shakespeare !
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« Hamlet »

Cinq actes, cinq metteurs en scène, un spectacle. A COURT DE FORME a réuni cinq artistes qui ont à charge de monter chacun un acte d’Hamlet, en gardant toutes libertés dans leur travail, et d’imaginer ensemble un spectacle cohérent. Cinq formes courtes, vingt-cinq artistes racontant Hamlet.

De William Shakespeare - Mise en scène Stéphane Auvray-Nauroy, Vincent Brunol, Michèle Harfaut, Sophie Mourousi, Eram Sobhani - Durée 2h00 (5 actes de 20 minutes chacun mis en scène par 5 metteurs en scène)

Jusqu’au 14 janvier 2012
Du mardi au samedi à 20h30

Trio de formes courtes

Durée 1h00 (3 formes de 20 minutes)

« Shakespearian » Film de Luc Martin. Construit essentiellement à partir d’extraits de pièces et sonnets du poète, Shakespearian est un film itinérant et contemplatif, centré autour d’une obsession shakespearienne essentielle : comment défier la mort. « Contre la mort, contre l’oubli, ces ennemis, vous ferez front… »

« Si seulement le sang pouvait exciter mes larmes » : De façon assez absurde, j’ai rêvé d’être Hamlet avec l’illusion que le théâtre serait mon royaume. Un royaume où « songes et mensonges couchent ensemble ». En réalité, Shakespeare est trop grand pour moi. À travers mes faiblesses se dessine la confusion de ce que nous espérions pouvoir dire. De ce qui pourrait être au-delà de ce héros que je ne suis pas. » - Création collective - Mise en scène Naïs El Fassi.

« Antoine et Cléopâtre, tragédie pour un bouffon » : Une passion d’aujourd’hui empreinte d’érotisme, où l’intime et le politique s’enlacent, dans deux mondes traversés par une crise politique aiguë. Une tragédie pour un bouffon, aux effluves de jasmin - D’après William Shakespeare - Mise en scène Suzanne Marrot.

Jusqu’au 7 janvier 2012
Du mardi au samedi à 19h00

« Anatomie Titus »

D’après Heiner Müller - Mise en scène Julien Varin

Une nouvelle victoire dévaste Rome la capitale du monde. Le mot est lâché. Anatomie Titus, c’est une tragédie, c’est un bouc que l’on égorge joyeusement. C’est un jeu - vie et mort -, un jeu mortel, c’est du théâtre. On joue dans le sang et le soufre. In fine nous nous retrouverons autour d’un bon repas. Happy end ?
(Durée 45 mn).

Mardi 10 et mercredi 11 janvier 2012 à 19h00